Corrections 2005/2006
Corrections 2005/2006
EPREUVE D’ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE
DES ORGANES PHONATOIRES
Année 2005-2006
Questions rédactionnelles
1-Décrivez, avec des schémas si vous le souhaitez, les mouvements possibles des cartilages aryténoïdes au cours de la respiration et de la phonation
Les aryténoïdes, parce qu’ils reposent à la face supérieure du chaton cricoïdien par l’intermédiaire d’une surface articulaire, présentent différents types de mouvements.
Au cours de la respiration:
A partir de la position de repos respiratoire (position dans laquelle se trouvent les cordes vocales à la fin d’une expiration ventilatoire), les aryténoïdes vont se déplacer au cours de l’inspiration et de l’expiration.
Au cours de l’inspiration:
L’inspiration s’accompagne d’un mouvement d’étirement des poumons vers le bas (grâce à la contraction du diaphragme), mouvement qui se transmet aux bronches, à la trachée puis au larynx. Les aryténoïdes sont alors passivement déplacés dans un mouvement de glissement latéral vers le dehors (la glotte est alors triangulaire).
Si l’inspiration est plus profonde, les cordes vocales doivent s’écarter pour laisser entrer plus d’air dans les voies respiratoires. Le tissu pulmonaire attiré par le diaphragme va tirer de manière plus importante de larynx vers le bas, entraînant une bascule vers le dehors et l’arrière des aryténoïdes par rapport au chaton cricoïdien (la glotte apparaît alors pentagonale).
Au cours de l’expiration:
Le retour à la position de repos respiratoire après une inspiration très profonde se fait de manière passive, grâce à l’action des forces élastiques qui peuvent agir dès que les forces musculaires s’interrompent. Les aryténoïdes reprennent leur position à la face supérieure du chaton cricoïdien. Au cous de la respiration ventilatoire, il existent des petits déplacements dans le plan frontal des aryténoïdes, qui se rapprochent légèrement de la ligne médiane à l’expiration et s’en éloignent au cours de l’inspiration (leur rapprochement expiratoire participe à l’élévation des pressions intrapulmonaires précédant l’expulsion de l’air hors des poumons).
Au cours de la phonation:
La mise en position phonatoire précède la vibration vocale. Au cours de ce mouvement, à partir de la position de repos respiratoire, les aryténoïdes glissent latéralement vers le dedans sous l’action du muscle ary-aryténoïdien, pour s’accoler sur la ligne médiane. Ce mouvement se complète par un mouvement de pivot vers le dedans, sous l’action du CAL, afin d’accoler l’une contre l’autre les apophyses vocales. Les aryténoïdes restent dans cette position jusqu’à la prochaine reprise inspiratoire. L’écartement des cordes se fait grâce à l’action des muscles CAP qui provoquent un mouvement de pivot vers le dehors, complété par un mouvement de glissement latéral, toujours vers le dehors, provoqué par le relâchement de l’AA.
2-Donnez les définitions suivantes :
-hauteur: sensation qui fait dire d’un son qu’il est aigu ou grave, unité: le Hertz (Hz). Correspond à la vitesse de vibration des CV.
-intensité: sensation qui fait dire d’un son qu’il est fort ou faible, unité le décidel (dB). Correspond à l’amplitude vibratoire.
-timbre: audibilité des harmoniques, caractérise chaque individu. Timbre vocalique (voyelles), timbre extra-vocalique («carte d’identité vocale»).
-étendue vocale: ensembles des notes pouvant être émises par un individu
-tessiture: partie de l’étendue vocale sur laquelle le timbre est homogène
Epreuves de QCM
1-Quelles sont les propositions fausses ?
A- Le mouvement en « poignée de pompe » concerne la partie moyenne des côtes F
B- Le mouvement en « poignée de pompe » a lieu dans le plan sagittal V
C- Le mouvement en « poignée de pompe » se fait de haut en bas et de droite à gauche (et inversement) F
D- Le mouvement en « poignée de pompe » des côtes inférieures uniquement favorise la détente laryngée V
E- Le mouvement en « poignée de pompe » des côtes inférieures s’accompagne d’une mise en tension des muscles du cou F
2-Quelles sont les propositions vraies ? question supprimée (pas de réponses vraies)
A- Les 12 vertèbres composant la colonne dorsale forment un ensemble rigide incapable de mouvement F
B-La cyphose est la seule courbure naturelle de la colonne vertébrale F
C- Un mouvement de la colonne dorsale dans le plan frontal est recherché pendant la respiration F
D- L’accentuation de la lordose lombaire favorise les mouvements de la colonne dorsale F
E-Une diminution de la cyphose de la colonne dorsale favorise l’expiration F
3-Quelles sont les propositions vraies ?
A- Le diaphragme, comme tous les autres muscles, se raccourcit en se contractant et rapproche les structures sur lesquelles il se fixe F
B- Quand il se contracte, le diaphragme s’abaisse dans l’abdomen et permet l’expiration F
C- Un des points fixes sur lesquels le diaphragme prend appui lors de sa contraction est le centre phrénique diaphragmatique (centre tendineux) V
D- La contraction du diaphragme pendant la respiration aboutit à l’écartement des côtes inférieures V
E- La contraction du diaphragme pendant la respiration s’accompagne d’une détente laryngée par élévation du larynx dans le cou F
4-Quelles sont les propositions fausses ?
A-Les poumons sont des organes de forme pyramidale : le plus grand volume se trouve à leur partie haute F
B-Les poumons sont des muscles qui se contractent et se relâchent au cours de la respiration F
C-La structure élastique des poumons permet la modification de leur volume au cours de la respiration V
D-Le feuillet pariétal de la plèvre est adhérent aux poumons F
E-L’ensemble constitué par l’accolement du feuillet pariétal et du feuillet viscéral de la plèvre permet la transmission des modifications de volume de la cage thoracique aux poumons V
5-Quelles sont les propositions vraies ?
A- Dans la respiration ventilatoire, la durée de l’expiration est la même que celle de l’inspirationV
B- Dans la respiration ventilatoire, seule l’expiration est active F
C- Dans l’inspiration ventilatoire, seules les forces élastiques entrent en jeu F
D- A la fin d’une inspiration ventilatoire, la cage thoracique se trouve dans une situation d’équilibre entre les forces musculaires et élastiques V (Mais proposition plus facile à comprendre si formulée comme suit : à la fin d’une inspiration ventilatoire, si on bloque la position dans laquelle se trouve la cage thoracique, alors…)
E- La position « de repos » de la cage thoracique correspond à la partie inférieure du volume courant V
6- Quelles sont les propositions vraies ?
A-A la fin d’une inspiration qui mobilise une grande partie du volume de réserve inspiratoire, la pression de relaxation de la cage thoracique est faible F
B-A la fin d’une inspiration qui mobilise une grande partie du volume de réserve inspiratoire, la pression de relaxation s’exerce dans le même sens qu’à la fin d’une expiration qui mobilise la plus grande partie du volume de réserve expiratoire F
C-Le point d’équilibre de la cage thoracique correspond à un niveau de volume situé entre le volume de réserve inspiratoire et le volume de réserve expiratoire F Il s’agit de la définition de la position de repos
D-A la fin d’une inspiration pré phonatoire, le volume pulmonaire se situe dans le volume de réserve inspiratoire V
E-Lors de l’émission d’un son, si le volume pulmonaire correspond au volume de réserve expiratoire, l’action des muscles abdominaux est obligatoire pour maintenir la phonation V
7- Quelles sont les propositions vraies ?
A-On donne le nom de résonateurs aux cavités que le son laryngé traverse avant d'arriver à l'air libre V
B-Les résonateurs sont : l’hypopharynx et l’oropharynx, la cavité buccale, et pour certains sons, le nasopharynx, les fosses nasales et les sinus F
C-Un organe peut être un résonateur de l’appareil vocal même s’il n’est pas (jamais) traversé par l’onde sonore laryngée F
D-L’hypopharynx et la cavité buccale sont les deux résonateurs obligatoires de la voix V
E-Les fosses nasales ne participent au phénomène de résonance que pour certains sons V
8- Quelles sont les propositions fausses ?
A-Le phénomène de résonance en général implique toujours la présence d’une source produisant une onde V
B-Le phénomène de résonance en général implique toujours la présence d’un milieu permettant la propagation d’une onde V
C-Le phénomène de résonance en général, implique toujours la présence d’un corps creux pouvant se mettre à vibrer F
D-Le phénomène de résonance en général implique toujours la présence d’un corps ayant des propriétés élastiques au sens physique du terme V
E-Le phénomène de résonance ne se retrouve que dans le domaine de l’acoustique F
9- Quelles sont les propositions vraies ?
A-Les résonateurs de l’appareil phonatoire sont des organes dont les parois sont variables dans leur position V
B-Les résonateurs de l’appareil phonatoire peuvent prendre, en théorie, un nombre infini de formes V
C-Les résonateurs de l’appareil phonatoire peuvent prendre, en réalité, un nombre infini de formesF
D-C’est la pression linguistique du milieu dans lequel évolue le sujet qui limite le nombre de formes possiblement prises par les résonateurs V
E-Un enfant de 3 ans est capable de réaliser un nombre infini de voyelles F
10- Les organes suivants constituent la paroi de résonateurs de l’appareil phonatoire :
A-La langue V
B-L’os hyoïde F
C-Les muscles du voile de palais V
D-Les sinus piriformes F
E-Les lèvres V
11- Quelles sont les propositions fausses ?
A-Les formants sont des renforcements fréquentiels de l’onde sonore laryngée V
B-Le premier formant (F1) correspond à la fréquence la plus grave trouvée dans l’onde sonore laryngée F
C-Le fondamental laryngé (F0) est la fréquence correspondant à la vibration de la corde dans son ensemble V
D-Le second formant (F2) n’est pas nécessaire absolument pour l’identification d’une voyelle F
E-Chaque voyelle se caractérise par une valeur précise de F1 ou (et) de F2V
12- Quelles sont les propositions vraies ?
A-Le quatrième formant est indispensable à l’identification des voyelles F
B-Le quatrième formant permet à la voix du chanteur d’être entendue malgré les instruments de l’orchestre V
C-Le quatrième formant correspond à une zone de moindre sensibilité de l’oreille interne F
D-Tous les chanteurs ont un quatrième formant F
E-La valeur du quatrième formant se situe autour de 3000 Hz V
13- Quelles sont les propositions vraies ?
A-La hauteur est ce qui fait dire d’un son qu’il est fort ou faible F
B-L’intensité est mesurée en dB V
C-La hauteur d’un son correspond au nombre de cycles par seconde, réalisés par la source sonoreV
D-L’écart entre un son de 20 dB et un son de 30 dB, est le même que celui entre un son de 30 dB et un son de 4O dB F
E-Plus les cordes vocales se referment vite, plus le son est aigu V
14- Quelles sont les propositions vraies ?
A-Le timbre est constitué uniquement par l’ensemble des voyelles émises par un individu F
B-Le timbre est l’audibilité des harmoniques V
C-Le timbre permet l’identification des individus V
D-Le timbre est lié au phénomène de résonance V
E-Le timbre d’une voix ne dépend pas de la taille des cordes vocales F
15- Quelles sont les propositions fausses ?
A-La voix d’un ténor est plus aiguë que celle d’un baryton V
B-La tessiture d’un ténor et celle d’un baryton ne se superposent sur aucunes notes F
C-Un chanteur classé « basse » ne peut pas utiliser le mécanisme II (ou léger) de sa voix F
D-Un ténor n’utilise que le mécanisme I (ou lourd) de sa voix F
E-Un baryton a une voix plus aiguë que le chanteur basse V
16- Quelles sont les propositions vraies ?
A-Une chanteuse soprane a souvent de petites cordes vocales V
B-Une chanteuse mezzo a la voix plus aiguë qu’une contralto V
C-Une chanteuse soprane n’utilise jamais son mécanisme de type I (lourd) dans le chant F
D-Une chanteuse contralto a souvent de longues cordes vocales V
E-La tessiture d’une chanteuse soprane est limitée dans le mécanisme lourd de sa voix V
17- Quelles sont les propositions fausses ?
A- Sur le plan laryngé (mécanisme vibratoire), il existe 2 mécanismes de production des sons que l’on peut mélanger pour créer un mécanisme mixte ou intermédiaire F
B- A l’intérieur du mécanisme de type I, les variations de hauteur font appel aux mêmes actions musculaires que pour le mécanisme de type II (ou léger) F
C- Le mécanisme de type II (ou léger) est utilisé pour produire des sons aigus V
D- Le mécanisme de type I (ou lourd) est utilisé pour produire des sons graves V
E- Les autres mécanismes laryngés de production des sons (extrêmes graves et extrêmes aigus) ne correspondent pas à une vibration des cordes vocales V
18- Quelles sont les propositions vraies ?
A- A l’intérieur du mécanisme de type I, les variations de hauteur peuvent être obtenues en modifiant le niveau de contraction du muscle thyro-aryténoïdien inférieur (ou muscle vocal) V
B- A l’intérieur du mécanisme de type I, les variations de hauteur peuvent être obtenues en modifiant le niveau de contraction du muscle crico-aryténoïdien latéral V
C- A l’intérieur du mécanisme de type II, les variations de hauteur peuvent être obtenues en modifiant le niveau de contraction du muscle crico-thyroïdien (ou muscle du chanteur) V
D- A l’intérieur du mécanisme de type II, les variations de hauteur peuvent être obtenues en faisant varier le niveau de contraction du muscle thyro-aryténoïdien inférieur (ou muscle vocal) F
E- A l’intérieur du mécanisme de type I, les variations de hauteur peuvent être obtenues en modifiant le niveau de contraction du muscle crico-thyroïdien (ou muscle du chanteur) F
19- Quelles sont les propositions vraies ?
A- La modification du niveau de contraction du muscle thyro-aryténoïdien inférieur (muscle vocal) aboutit à une modification de sa longueur F
B- L’augmentation de la rigidité du muscle thyro-aryténoïdien inférieur diminue sa portion vibranteV
C- L’augmentation de la rigidité du muscle thyro-aryténoïdien inférieur permet une réduction de la durée du cycle vibratoire de la corde vocale V
D- L’augmentation de la rigidité du muscle thyro-aryténoïdien inférieur permet de produire des sons plus aigus V
E- L’augmentation de la rigidité du muscle thyro-aryténoïdien inférieur permet une accélération du rythme vibratoire de la corde vocale V
20- Quelles sont les propositions fausses ?
A- L’augmentation du niveau de contraction du muscle crico-aryténoïdien latéral permet de faire varier la hauteur des sons uniquement dans le mécanisme I (ou lourd) F
B- L’augmentation du niveau de contraction du muscle crico-aryténoïdien latéral permet de faire varier la hauteur des sons uniquement dans le mécanisme II (ou léger) F
C- L’augmentation du niveau de contraction du muscle crico-aryténoïdien latéral permet d’augmenter la portion vibrante de la corde vocale F
D- L’augmentation du niveau de contraction du muscle crico-aryténoïdien latéral permet de faire des sons plus aigus V
E- Le muscle crico-aryténoïdien latéral fait partie des muscles adducteurs de la corde vocale V
21- Quelles sont les propositions vraies ?
A- L’intensité correspond à l’amplitude vibratoire des cordes vocales, c’est à dire à la distance entre la partie haute et la partie basse du bord libre les cordes F
B- L’intensité correspond à l’amplitude vibratoire des cordes vocales, c’est à dire à la distance parcourue par le bord libre , au cours du cycle vibratoire, entre la position d’écartement maximum des cordes, et la position accolée V
C- L’intensité correspond à l’amplitude vibratoire des cordes vocales, c’est à dire à la distance parcourue par le bord libre des cordes vocales entre la position respiratoire et la position phonatoire F
D- Pour augmenter l’intensité, on peut augmenter la pression sous-glottique V
E- Pour augmenter l’intensité, on peut augmenter la force expiratoire V
22- Quelles sont les propositions vraies ?
A- Au cours de la déglutition, le larynx se transforme en sphincter à faible pression F
B- Au cours de l’accouchement, le larynx se transforme en sphincter à forte pression V
C- Au cours des efforts à glotte fermée, le larynx se transforme en sphincter à faible pression F
D- Au cours de la phonation, le larynx se transforme en sphincter à faible pression V
E-Au cours de la respiration, le larynx se transforme en sphincter à forte pression F
23- Quelles sont les propositions fausses ?
A- Le cartilage thyroïde est un cartilage pair dont la forme évoque celle d’un bouclier F
B- L’angle entre des 2 lames quadrangulaires du thyroïde varie selon les sexes V
C- L’angle entre des 2 lames quadrangulaires du thyroïde varie selon l’âge chez l’homme V
D- Le cartilage thyroïde constitue la base du larynx F
E- C’est dans l’angle rentrant du cartilage thyroïde que se fixent les cordes vocales V
24- Quelles sont les propositions vraies ?
A- L’épiglotte est le « couvercle » du larynx V
B- L’épiglotte a un rôle fondamental pour empêcher les aliments de refluer par le nez F
C- L’épiglotte a un rôle fondamental pour empêcher les aliments de pénétrer dans les voies respiratoires V
D- L’épiglotte peut avoir une forme différente selon les individus V
E- L’épiglotte participe à la fermeture du sphincter à « très forte pression » V
25- Quelles sont les propositions vraies ?
A- Le cartilage cricoïde est une cartilage impair V
B- Le cartilage cricoïde constitue la base du larynx V
C- Le cartilage cricoïde calibre le diamètre interne de la filière respiratoire V
D- Le cartilage cricoïde peut faire varier sa taille en cas de besoin F
E- Sur le cartilage cricoïde repose l’os hyoïde F
26- Quelles sont les propositions fausses ?
A- Sur l’arc antérieur du cartilage cricoïde reposent les pyramides aryténoïdiennes F
B- Sur l’arc antérieur du cartilage cricoïde se fixent les muscles crico-aryténoïdiens latéraux et postérieurs F
C- Sur la face postérieure du chaton du cartilage cricoïde se fixent les muscles crico-aryténoïdiens latéraux F
D- Sur la face postérieure du chaton du cartilage cricoïde ne se fixe que le muscle ary-aryténoïdien F
E- La face postérieure du chaton cricoïdien se trouve dans un plan frontal V
27- Quelles sont les propositions vraies ?
A- Le cartilage aryténoïde est un cartilage pair V
B- Le cartilage aryténoïde présente deux prolongements qui donnent chacun insertion à des muscles assurant sa mobilité F
C- Le cartilage aryténoïde a la forme d’une pyramide à sommet postérieur F
D- Le cartilage aryténoïde est le seul cartilage mobile du larynx F
E- Sur le cartilage aryténoïde se fixe la corde vocale V
28- Quelles sont les propositions vraies ?
A- Les cartilages aryténoïdes peuvent glisser dans un plan frontal sur le chaton cricoïdien V
B- Les cartilages aryténoïdes peuvent légèrement basculer vers l’avant au cours de la respiration F
C- Les cartilages aryténoïdes peuvent pivoter sur eux-mêmes V
D- Le muscle crico-aryténoïdien postérieur fait pivoter l’aryténoïde vers le dehors V
E- Le muscle crico-aryténoïdien postérieur rapproche l’une de l’autre les apophyses vocales des aryténoïdes F
29- Quelles sont les propositions vraies ?
A-Les muscles adducteurs de la corde vocale écartent les cordes l’une de l’autreF
B- Les muscles abducteurs de la corde vocale sont constricteurs de la glotte F
C- Les muscles dilatateurs de la glotte sont les muscles crico-aryténoïdiens postérieurs V
D- Le muscle ary-aryténoïdien est adducteur de la corde vocale V
E- Le muscle crico-thyroïdien est dilatateur de la glotte V
30- Quelles sont les propositions vraies ?
A- Tous les muscles du larynx sauf un sont innervés par le nerf récurrent V
B- Le seul muscle non innervé par le nerf récurrent est le muscle thyro-aryténoïdien inférieur F
C- Le seul muscle innervé par le nerf laryngé supérieur est le muscle crico-thyroïdien V
D- Si le nerf laryngé supérieur est sectionné, le passage en mécanisme lourd (type I) ne peut plus avoir lieu F
E- Si le nerf récurrent est sectionné, la corde vocale homolatérale (c’est à dire du même côté) est paralysée V